Le module complémentaire Analyse des phases de construction (CSA) permet de calculer des structures de barre, de surface et de solide dans RFEM 6 en considérant les phases de construction spécifiques associées au processus de construction. Cette fonctionnalité est importante car les bâtiments ne sont pas construits en une seule fois mais en combinant progressivement des parties structurelles individuelles. Les étapes individuelles au cours desquelles les éléments structurels et les charges sont ajoutés au bâtiment sont appelées phases de construction, tandis que le processus lui-même est appelé processus de construction.
Ainsi, l'état final de la structure est disponible une fois le processus de construction achevé ; c'est-à-dire toutes les phases de construction. Pour certaines structures, l'influence du processus de construction (c'est-à-dire de toutes les phases de construction) peut être importante et doit être considérée afin d'éviter les erreurs de calcul. Un aperçu général du module complémentaire CSA est donné dans l'article de la base de connaissance « Considération des phases de construction dans RFEM 6 ».
Les imperfections dans l'ingénierie de la construction sont associées à un écart entre la production des composants structurels et leur forme idéale. Elles sont souvent utilisés dans un calcul pour déterminer l'équilibre des efforts pour les composants structurels sur un système déformé.
Dans cet article technique, nous vous présentons les principes de base associés à l'utilisation du module complémentaire Flambement par flexion-torsion (7 degrés de liberté). Cette solution est entièrement intégrée au logiciel de base, permettant de considérer le gauchissement de la section lors du calcul des éléments de barre. En combinaison avec les modules complémentaires Analyse de stabilité et Vérification de l'acier, il est possible d'effectuer une analyse du déversement avec les efforts internes selon l'analyse du second ordre, en considérant les imperfections.
Il est possible d'exploiter les options de sélection dans le rapport d'impression pour sortir les résultats détaillés (sous forme courte ou longue) afin d'illustrer les différents modes de voilement associés à la vérification correspondante.
La raison la plus courante associée à l'instabilité d'un modèle provient de non-linéarités de barre défaillantes, telles que des barres de traction. Pour reprendre l'exemple le plus simple, un portique a des appuis sur le pied du poteau et des articulations de moment sur la tête du poteau. Dieses labile System soll durch einen Kreuzverband aus Zugstäben stabilisiert werden. Dans le cas de combinaisons de charges avec des charges horizontales, le système demeure stable. Cependant, si elle est chargée verticalement, les deux barres de traction sont défaillantes et le système devient instable, provoquant de ce fait une erreur de calcul. Une telle erreur peut être évitée en sélectionnant la gestion exceptionnelle des barres défaillantes sous « Calculer » → « Paramètres de calcul... » → « Paramètres globaux de calcul ».
Il est parfois nécessaire d'ajouter à la sélection des objets associés, tels que des nœuds et des lignes d'une surface, afin de modifier des parties du modèle.
La rigidité des structures en bois est généralement assurée par des panneaux en bois. À cette fin, des composants structuraux constitués de dalles (bois aggloméré, OSB) sont reliés par des barres. Plusieurs articles abordent les principes de base de cette méthode de construction et les calculs associés dans le logiciel RFEM. Le premier article de cette série décrit la détermination des rigidités et le calcul.
Il est souvent pertinent d'inclure la charge horizontale due à la marche en crabe dans le calcul des chemins de roulement à grande portée. Cet article explique d'où proviennent ces forces et les réglages adéquats dans CRANEWAY. Il traite également de la mise en œuvre de solutions et des principes théoriques associés.
Le voilement des coques constitue un problème de stabilité très récent dans le domaine du calcul de structure et il n'a pas encore fait l'objet de recherches approfondies. Cette particularité s'explique par la complexité de la théorie associée à ce sujet. L’introduction de la méthode aux éléments finis et les progrès réalisés dans ce domaine évitent par ailleurs à de nombreux ingénieurs à devoir travailler sur la théorie du voilement des coques. L'ouvrage [1] offre une bonne vue d'ensemble des problèmes et des erreurs qui résultent de cet état de fait.